Livre d'occasion (Bon état)
Je suis ni historien ni critique littéraire. Et je n'ai aucune prétention à le devenir. Ici, je fais &oeliguvre de documentaliste. J'essaye de rendre compte par des textes et des documents peu connus et/ou inédits des premières années d'écrivain de Mohammed Dib dont la célébrité universelle est allée grandissante jusqu'à s'établir définitivement.
Remontant au début des années '50, période décisive et lancinante de sa carrière, ces textes et ces documents, qui se passent de tout commentaire, seront à coup sûr d'un apport documentaire indéniable pour les chercheurs et les universitaires, voire pour un large public :
Ils renseignent sur :
-Son entrée, en émargeant aux Editions du Seuil avec ses célèbres romans La Grande maison en 1952 et L'Incendie en 1954, dans le monde de la littérature.
-Sa participation, à une conférence, intitulée « Le prolétariat des villes », aux journées d'Etudes du Secrétariat Social d'Algérie, tenues, à Alger, du 27 au 30 mai 1954. Cette conférence, qui est une véritable dénonciation et révélation de la colonisation, a été donnée à l'instigation de Maurice Monnoyer, critique littéraire et rédacteur en chef de l'hebdomadaire L'Effort Algérien. A cinquante-cinq ans de distance, son témoignage est d'une extrême précision.
Au lecteur de découvrir la logique d'organisation qui a prévalu pour rendre cohérente la présentation de ces textes et de ces documents.
Alger, le 21 Juillet 2009
Mehenni Akbal,
Maitre de conférences à l'université d'Alger.
Votre panier : | Fermer |