Sétif généreuse Cité .
Quand les vents d'automne célèbrent l'octobre des Hautes Plaines, quand ceux de l'hiver font frémir les sillons de février, et que les senteurs des fleurs de mai enivrent les moissons d'août
Sétif s'ouvre sur la mémoire pour saluer les moments éternels.
Cité endeuillée, où les platanes de Ain Fouara et les édifices sanctuaires sont encore chargés par les embruns des massacres du 8 mai, crimes contre l'humanité, commis froidement par la France coloniale, à l'encontre d'hommes et de femmes enchainés mais combien fiers dans leur dignité.
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