Né le 20 janvier 1913, à Sidi Naamane (Tigzirt sur Mer)).Tahar Oussedik est mort le 26 octobre 1994, à Alger. Enterré, selon son vécu, à Ain El-hammam, berceau de sa famille.la vie de Tahar Oussedik a été pétri de deux sentiments forts : l'amour de la patrie, depuis son village d'Asqif Entemana et la fois en la jeunesse algérienne.
A cette jeunesse, il a voulu dire qu'être algérien c'était se réclamer fièrement,de la Kahina,de L'la fat'ma N'Soummeur, de Boubeghla, d'E l-Mokrani, de Malika Gaïd et de la lutte de la libération nationale. Ce message, il l'avait voulu celui de la dignité et de la liberté. C'est pour dire cela aux jeunes algériens que le vieil instituteur a pris sa plume…
Influençables et sensibles, les jeunes n'écoutent que leurs désirs, poussées de –ci, de-là, pas le souffle enivrant de la liberté. N'ayant bien souvent aucune conception de l'avenir, ils ne se préoccupent que de l'heure présente dont ils veulent savourer tout les délices. L'oubli du devoir et de la contrainte leur permet d'échapper pour un moment, à la dure loi de l'existence.
Leurs aînés ont l'impérieux devoir de manifester, sans relâche, leur présence, pour les maintenir dans le sens de leurs responsabilités, car leur peuple et leurs pays ont besoins d'eux.
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