Djoher Amhis-Ouksel tient sa passion pour l'enseignement de son père lui-même instituteur mais aussi de sa mère qui faisait entre autre en sorte de ne pas la charger des tâches ménagères à la maison. C'est en 1949 qu'elle sort de l'Ecole Normale qu'elle avait intégré en 1945. Son amour pour l'instruction, son parcours studieux lui viennent aussi d'une volonté de réussite portée par le besoin de prouver que les «indigènes» avaient les capacités de réussir aussi bien que les européens. Elle s'est mise à écrire à partir de la retraite dans les années 80. L'écriture qu'elle a commencée en cachette était auparavant un tabou. Cette peur d'écrire lui vient de l'éducation pudique de l'époque. Elle s'implique avec passion depuis en direction de la jeunesse (Ateliers de lecture-Imerventions-Débats-Cafés littéraires-Confection de livres scolaires) et fait la promotion de la lecture (une cinquantaine d'interventions dans des colloques en Algérie et à l'étranger). Elle a publiée 6 ouvrages de relecture des &oeliguvres de grands auteurs algériens dont Taous Amrouche, Mammeri, Dib, Feraoun
 
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