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Pr Mostefa Khiati - Mohamed Brahimi Le maitre des derricks

Pr Mostefa Khiati - Mohamed Brahimi Le maitre des derricks


Prix : 1000 (DA) - 10 €


« On ne juge pas au mente a un nomme seulement par ses grandes qualités, mais par l'usage qu'il en sait faire. »
Un parcours professionnel impressionnant peu connu en raison de la discrétion de son auteur, tellement réservé qu'il frise l'effacement. La timidité de l'homme, légendaire, rime avec simplicité et modestie.
Natif de la chaleureuse et hospitalière ville d'EI Goléa, au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Brahimi reste sans doute l'une des figures de proue de la société pétrolière Sonatrach. Il s'est lancé très jeune dans l'odyssée de l'or noir. Il est l'un des foreurs les plus connus à travers le monde, sollicité ici et là pour son expérience et ses compétences reconnues.
Brahimi a pleinement réussi, et la réussite n'est-elle pas souvent qu'une revanche sur le bonheur ?
En 1956, il décrocha son premier poste d'ouvrier de plancher. Le soir, il lisait des revues, des manuels et des notices spécialisés. Puis il obtint son premier excellent résultat, le poste de second, puis celui de maître-sondeur de forage.
C'était le premier Algérien à se hisser à ce niveau. Son irrésistible ascension ne pouvait s'expliquer seulement par ses connaissances acquises dans le cadre de sa scolarité et le stage de 3 mois effectué en France. C'était plutôt cette part d'intelligence qui a aidé M. Brahimi à accéder à ce niveau de l'échelle, et c'est ce qui a présidé à la décision de ses responsables de l'initier à l'organisation des chantiers de forage.
Sa curiosité l'entraîna à se perfectionner dans le forage dont il devint vite l'un des techniciens les plus doués. Il fut détaché auprès de l'équipe de Red Adair entre 1961 et 1962, chargée de maîtriser la grande éruption de l'époque à Gassi Touil, appelée le « briquet du diable ».
Brahimi a été honoré par l'immense Red Adair, le pompier volant des puits de pétrole, qui a émis cette sentence fort élogieuse, un jour en pleine tourmente, dans ce généreux désert algérien : « Je suis le Brahimi américain et lui Brahimi, c'est le Red Adair algérien. »
(Extrait : El Watan du 24 avril 2012)

 


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