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Karim YOUNES - BÉJAÏA PASSÉ PRÉSENT

Karim YOUNES - BÉJAÏA PASSÉ PRÉSENT


Prix : 2000 (DA) - 20 €


« Toute la suite des hommes doit être considérée comme un seul homme qui subsiste toujours et existera continuellement » Pascal. Il semble que Karim Younès a bel et bien intériorisé cet aphorisme car il a senti la nécessité de rendre hommage à sa ville « Bejaïa ».
Mieux que quiconque, il sait que l'Histoire est une succession d'histoires et que la mémoire collective est un agrégat de mémoires individuelles. Pour ce faire, il offre à son lectorat le spectacle d'une procession d'habitants prestigieux de la ville. Cet ouvrage donne à voir, à écouter et à savourer les délices spatiaux et les délicatesses temporelles à travers des spécialités artistiques, sportives, religieuses ou tout simplement prête à rêver de personnages illustres ou inconnus qui ont fait de Bejaia ce qu'elle est devenue, une héroïne des Mille et une Nuits, une Sheherazade, flambeau à la main.
Francine Ohayon
« Au crépuscule inexorable d'une vie intense sous la sainte protection de Yemma Gouraya qui veille sur la ville et sa nombreuse progéniture, me voilà redevable envers elle et, dans un ultime sursaut, avide de lui vouer ma reconnaissance, mon amour et mon dernier souffle. »
Karim Younes ajoute, toujours en préambule : « Le passé, le mien, n'a pas toujours été tendre. Il a épousé l'histoire turbulente de mon temps avec ses hauts et ses bas, comme il a épousé celle de ma ville qui eut un rayonnement digne des grandes cités méditerranéennes de l'époque hellénique, romaine, carthaginoise, musulmane des premières dynasties hammadites. »
Licencié de français de l'Université d'Alger en 1978 Karim Younes a été secrétaire d'Etat puis ministre de la Formation professionnelle de juin 1997 à mai 2002, date à laquelle il a été élu député à l'Assemblée populaire nationale dont il a été le président de juin 2002 à juin 2004.
Après sa démission de la présidence de l'APN et au terme de son mandat de député, il s'est retiré de toute activité politique. Mais il la reprend en 2019 en dirigeant l'Instance de Médiation et de Dialogue puis est nommé Médiateur de la République de 2020 à 2021.
 


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