Née à Alger le 28 juin 1961, Katia Hacène est issue d'une famille d'intellectuels, originaire de la Grande Kabylie (Algérie).
Après avoir poursuivi ses études primaires et secondaires au lycée français d'Alger (lycée Descartes), elle obtient un baccalauréat série philosophie-lettres. L'arabisation ne lui permettant pas d'intégrer l'Université des sciences sociales et humaines, elle opte sans enthousiasme pour une licence d'anglais.
En 1986, elle entreprend une carrière de journaliste polyvalente en langue anglaise et française au journal Horizons et dispense, parallèlement, quelques cours d'anglais. En 1990, elle est membre fondateur honoraire du quotidien francophone Le Soir d'Algérie où elle occupe un poste de chef de rubrique. Quelques années plus tard, elle s'établit en France où elle exerce dans le secteur social et anime des ateliers de langue anglaise avant de se consacrer essentiellement à l'écriture. Ses ouvrages sont publiés en France puis en Algérie.
Elle est, par ailleurs, engagée dans le bénévolat partenaire d'associations et organismes qui la sollicitent. « Je ne suis pas une femme de lettres. Je suis plutôt une femme de l'être. » Cette citation de l'auteur reflète l'ensemble de son oeuvre.
Revenue dans son pays natal, Narimane doit courageusement faire face à un quotidien difficile. Un jour, elle est, malgré elle, l'unique témoin d'une altercation qui vire au drame. A cette tragédie qui la hante, s'ajoutent des événements inattendus qui vont chambouler sa vie déjà bien mouvementée.
Ce livre pour tout public est une suite au premier roman de l'auteur : « Le destin de Narimane »
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