O Adrâ !
Adrâ, Vierge, Muse ou Déesse. . .
Autant de mythes la baptisaient
Mais le temps lâche, sans relâche la pétrissait
Et, de rides gibbosité. . . jusqu'à interpeller la belle, &ldquoNana&ldquo !
Seul son regard intense lui échappa et garda sa limpidité juvénile
Et, de Soleil en Lune. . .
De la vie actuelle. . . au Colisée de l'Histoire
Du puritanisme d'un Terroir authentique
Jusqu'aux confis du mirage
Sur des tapis que seule Nana savait tisser !
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